Le 20 mars dernier, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du Climat (GIEC) a publié un nouveau rapport de synthèse. Il détaille une nouvelle fois les conséquences du changement climatique et les solutions pour y faire face.

C'est une certitude : la température à la surface de la Terre a augmenté de +1,1°C en comparaison de l'ère pré-industrielle (1850-1900). Même constat du côté du niveau de la mer, avec une hausse confirmée de 20 cm entre 1901 et 2018. Malgré des efforts, la stabilisation du réchauffement climatique est loin d'être à l'ordre du jour.

Que risque-t-on d'un point de vue météorologique ?

Alors que les agriculteurs sont déjà soumis aux aléas d'une météo souvent incertaine, le réchauffement climatique continuera d’accentuer certains phénomènes météorologiques. Ils deviendraient plus extrêmes, plus dangereux et toutes les régions du monde seront concernées. Concrètement, les vagues de chaleur que nous connaissons déjà dureront plus longtemps et seront plus intenses et fréquentes. Les précipitations pourraient également être plus abondantes, faisant craindre des inondations après des périodes de sécheresse prononcées. « Les précipitations journalières extrêmes s'intensifieront d'environ 7% pour chaque degré de réchauffement planétaire supplémentaire », a récemment prévenu l'Organisation météorologique mondiale (OMM).

Le GIEC s'inquiète aussi de la hausse du niveau de la mer par exemple, évoquée en début d'article. Lors de fortes tempêtes, et dans un contexte de forts coefficients de marée, les submersions marines deviendront plus fréquentes. Des inondations, plus fortes que ce que l'on connaît aujourd'hui, sont à craindre.

L'agriculture face au changement climatique

Le secteur agricole possède un rôle à jouer face au changement climatique et a déjà mis en place des démarches afin de réduire sa part d’impact environnemental. D'après les derniers chiffres du ministère de la Transition écologique, les émissions de gaz à effet de serre dans le monde agricole ont diminué ces 10 dernières années. De 95 millions de tonnes d'équivalent CO2 dans les années 2000, le chiffre a chuté à 84,1 millions de tonnes en 2019.

Il s’agit par ailleurs d’une profession victime directement du réchauffement climatique. Il entraîne déjà d'importantes pertes agricoles sur la surface du globe chaque année. Mais heureusement des solutions existent.

L'avenir proche entraînera obligatoirement l'abandon de certaines cultures pour en adopter d'autres. Une évolution déjà en marche chez les fruitiers du sud de la France. Mais cette évolution n'est pas la seule réponse à apporter dans un climat qui se modifie, et où l'eau devient plus rare.

L'étude des sols et des techniques agricoles durables permettent de mieux conserver l'eau qui, une fois tombée sous forme de pluie, est source de grand intérêt. Les agriculteurs eux-mêmes, en font la promotion sur les réseaux sociaux. « L'agriculture de conservation des sols et les couverts végétaux aident à lutter contre le changement climatique », expliquait en février 2019, David Guy, agriculteur.

Du côté du ministère de l'Agriculture, on explique que « le conseil et la formation devraient monter en puissance dans le secteur agricole et aller vers une massification du conseil stratégique climat». Les autorités ajoutent « qu'un point particulier a été fait sur l'arboriculture pour laquelle un renouvellement du verger français est nécessaire afin de bénéficier des progrès apportés par l'amélioration génétique».

Sencrop, au service d’une adaptation des agriculteurs au changement climatique

Sencrop se donne pour mission d’aider les agriculteurs à prendre de meilleures décisions au quotidien pour plus de confort, de meilleurs rendements et un impact environnemental maîtrisé.

En permettant aux agriculteurs d’accéder à de la donnée météo ultra-locale en direct de leurs parcelles, la solution Sencrop agit à deux niveaux.

Sencrop permet d’anticiper les aléas et phénomènes climatiques à venir

Pour un secteur si dépendant des conditions météorologiques et dans un contexte de changements climatiques, accéder à de la donnée météorologique précise et fiable est essentiel. Cela permet d’anticiper au mieux les risques à venir et d’y adapter ses travaux agricoles.

Sencrop permet aux agriculteurs de réduire leur empreinte environnementale

En effet, Sencrop accompagne les producteurs dans la réduction :

• de leur fréquence de traitement. Réaliser un traitement dans des conditions météorologiques optimales, c’est éviter la dérive de produit, s’assurer de son efficacité et ainsi réduire le nombre d’applications.

• de leur nombre de trajets et donc la réalisation d’économies de carburant.
• des quantités d’eau utilisées en irrigation. Des utilisateurs témoignent avoir économisé jusqu'à 80 mm d’eau sur une saison, soit 800 m3 à l’hectare grâce à la solution Sencrop. Elle permet de suivre l’état hydrique de ses parcelles et de déclencher son irrigation au moment optimal.

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